Les Lettres DUne Libertine LAtelier Du Menuisier (1/2)
Cétait au début de lautomne 2012, chacun sait que la période du rut chez lhomme prend un tournant lorsque la durée du jour diminue. « Comme chez les béliers ! » se plait à rappeler mon homme à moi, non sans un regard malicieux à mon intention.
Évidemment, à cette époque là, il ne manque jamais dintensifier ses propositions de rencontres coquines Je dirais presquil mépuise presque par avance par tout ce foisonnement de proposition dont certaines sont finalement assez basiques. Jaime bien « baiser » mais je ne suis pas une nymphomane non plus !
Pourtant ce midi là, alors que nous déjeunions ensemble en ville, il senquit de ma disponibilité physique et cérébrale pour une rencontre. Cétait selon lui un truc qui allait me plaire sans coup férir.
Jai cédée ! Mais au fond de mon ventre javais déjà eu le petit frisson qui annonçait mon abandon physique à lAutre.
Je reçu la désormais traditionnelle invitation. Oui, oui je sais
être sexy en porte-jarretelle, bas et talon aiguilles ! Ce manque doriginalité commence à me lasser. Pourtant un élément attira mon attention dans cette invitation : met ton shorty en dentelles noires de façon quil puisse être retiré sans avoir à poser les jarretelles.
En effet, depuis quelques temps la plupart des rencontres étaient exigées sans culotte ou autre couvre-minou, le fantasme favori des hommes sans doute ! Combien parmi vous, à la lecture de mes frasques, pensent que je suis dans mon quotidien sans ce vêtement ? Bon javoue que de temps à autre je vais bien au bureau sans celui-ci mais cest loin dêtre la généralité.
Mais javoue que jaime bien le soir, que mon homme me dise que jai fait « ma salope » au bureau, découvrant cet absence, lorsque « sa petite main à linterdit » qui accompagne toujours le bisou des retrouvailles, rencontre mon minou dénudé.
Ainsi fut dit ainsi fut fait. Je me retrouve sur lIle dOléron les yeux bandés, en tenue super sexy, tout juste vêtue dun long impair marqué à la taille de sa ceinture et de ses boutons dorés.
Des mains calleuses attnt les miennes, sen emparent littéralement. LAutre me transmet son assurance, je le suis sans réfléchir à où est mon homme. Je me laisse guider et on me fait entrer dans une pièce dont latmosphère est ouatée et qui sent un parfum que je connais mais sans pouvoir y mettre un nom ou une source.
Il cherche mes lèvres, ma bouche. Ses baisers sont tendres, sensuels et profonds et memportent rapidement dans les frissons du plaisir. Ses mains calleuses me caressent la nuque, le menton. En fait il dégage de la sensualité à fond et moi je fonds ! Mon mâle du jour me plait
beaucoup !
Puis soudain je sens que deux autres mains saffairent sur mon postérieur avec, elles aussi lattention que jaime : de la caresse et pas de linquisition masculine pour identifier si moi aussi jai bien un anus. Cela vous fait sourire ? Moi rarement !
Ainsi jai donc deux mâles pour moi, car jai bien compris que ce nétait pas le tour de main de mon homme. Le tourbillon des caresses me reprend et je laisse ma bouche se faire dévorer parfois à 3 langues. Mes mains explorent, soulève des pans de chemises, glissent sur les bosses qui sont apparues, sur les fesses musclées qui sont encore protégées par le tissu. Leurs parfums semmêlent avec celui de la pièce et un sentiment de virilité et danimalité mentoure.
Le soutien-gorge vole et soudain des bras puissants me soulèvent et me posent assise en hauteur. Le contact est froid mais la texture est comme le bois. On me penche en arrière et je sens quun des mâles est derrière moi. Il me prend les mollets et ouvre mon entrecuisse en les tenants fermement. Ma tête est appuyée sur sa bosse et je sens ses petits mouvements de bassin
mon mâle sexcite à sa femme !
Une langue parcourt désormais mes seins, mes tétons, glisse sur mon ventre, fait le tour de mon nombril. Puis elle rencontre le tissu de mon shorty dentelle et glisse dessus, se fait appuyée sur le capuchon.
Puis elle lape le tissu sans aucun doutes trempé du jus de la femelle que je suis devenue
je mabandonne à cette montée très sensuelle. Mon second mâle tient son rôle très fermement et lorsque mon premier orgasme me ravage, il gère les tremblements de mes cuisses et moffre encore plus à la langue de son complice.
On me porte à nouveau et me pose pour me faire avancer à 4 pattes sur un plateau en métal lisse et froid. « Attention, cest une zone dangereuse, garde bien le dos droit et les jambes écartées quoi quil arrive » - me dit on avec une voix bien virile. Ils prennent une de mes mains et lavancent avec précaution sous mon bas ventre « Tu vas comprendre pourquoi ». Mes doigts sont posés avec précautions sur un morceau de métal froid et dont le bout est acéré, piquant. Avec bien des précautions on me fait découvrir à tâtons un disque de métal froid et dentelé : une lame de scie !
Je me retrouve en levrette à me faire dévorer la vulve et le clito sans pouvoir accuser du bassin le plaisir et lexcitation que la situation excitante que je vis. Mon homme me racontera par la suite que parfois mon ventre se retrouvait à moins de 2 cm de la lame, qui bien quinanimée pouvait mécorcher par un mouvement malencontreux.
Sa ou leurs langues parcouraient mon intimité, glissait de mon anus, sans lui épargner des tentatives dintrusions, à mon capuchon. Ils jouaient avec mon piercing, exploraient jusquà se poser sur mon bouton rose. A chaque orgasme qui me prenait jallais jusquà oublier la lame de Damoclès qui était sous mon ventre.
Puis un sexe de beau calibre me força les lèvres alors que je criais pour la 4ème fois mon orgasme. Je me jetais dessus en gorge profonde. Je voulais que mon mâle ait un aperçus de la femelle que je peux être lorsque lon titille ma curiosité et lon moffre linsolite.
Je me aperçue que javais déjà lautre sexe en moi que lorsquil vient me prendre tout en longueur, laissant sa garde taper sur mon fessier. La translation de mon corps davant en arrière faisait que javais toujours un orifice bien pris en profondeur.
Il ne fallu pas longtemps pour que celui qui occupait ma bouche et ma gorge finissent par y exploser. De longs jets frappèrent ma glotte et ce fameux goût forestier, si délicieux, menvahit jusque dans les narines. Cétait bien crémeux et suave. Je déglutissais avec plaisir et mattachais à bien nettoyer loutil comme mon homme ma appris à le faire.
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